Le centre s’agrandit !
Louise MAILLARD, chiropracteur compétente et passionnée, vient se joindre à l’équipe dès le lundi 16 septembre.
Vous pouvez d’ores et déjà réserver votre rendez-vous avec elle via la plateforme Doctolib.

« C’est avec fierté et enthousiasme que je rejoins le cabinet, impatiente de vous accompagner dans votre chemin vers la santé optimale. »
Louise
07 87 16 31 13
centrearealchiro@gmail.com
18 rue Irma Moreau, 13100 Aix-en-Provence
Place de parking réservée au cabinet
Garez-vous au parking situé en face du cabinet, en arrière de la voiture grise (sous réserve que la place aie été libérée par la personne précédente).
FAQ - Foire aux questions
Le prix d’une consultation adulte est de 70€.
Les enfants de moins de 12 ans et les bébés bénéficient d’un tarif réduit à 50€.
Il est possible de payer par chèque, en espèces, par CB ou par virement.
Oui.
Le chiropracteur ajuste son approche et ses techniques en fonction de votre situation.
Vous pouvez dans tous les cas consulter un chiropracteur.
Suite à la première consultation, il y a 3 issues possibles :
- soit votre cas relève de la chiropraxie et la « prise en charge » commence
- soit votre cas ne relève pas de la chiropraxie et vous serez aiguillé vers un autre professionnel de santé plus adapté pour vous
- soit l’approche pluridisciplinaire est la meilleure et le chiropracteur vous redirigera vers d’autres professionnels de santé pour travailler en collaboration avec lui afin de vous aider au mieux.
Oui.
Une fois la première phase terminée et votre douleur ou autre symptôme disparu, je recommande de consulter en prévention.
Cela s’applique aussi si vous n’aviez pas de douleurs à la base.
Il est important de ne pas attendre qu’une douleur survienne pour consulter.
L’apparition d’une douleur traduit généralement le fait que les mécanismes de compensation du corps sont dépassés.
Il est alors plus long et plus complexe de gérer la situation que si l’on était venu en prévention, car il faut s’occuper des compensations en plus de la cause de la douleur.
Le rythme du suivi en prévention dépend de chacun.
La plupart de mes patients consultent en prévention entre 1 et 4 fois par an.
Personnellement et en accord avec mon rythme de vie, j’aime bénéficier d’une séance chiropratique 1 fois par mois.
La spécificité de la chiropraxie est la primauté dans la pratique de l’aspect neurologique, ce qui n’est pas le cas pour les autres pratiques.
Au travers d’une vision d’ensemble, la chiropraxie met l’accent sur l’évaluation du système nerveux et effectue certaines manoeuvres spécifiques pour permettre un fonctionnement optimal du système nerveux, en particulier du cerveau.
Si le cerveau reçoit des informations de meilleure qualité, il envoie à son tour au corps des informations de meilleure qualité, ce qui conduit à un meilleur fonctionnement et à une amélioration du symptôme (douleur), du bien-être et des capacités globales.
Il arrive parfois de ressentir de la fatigue, d’avoir quelques courbatures, d’avoir sommeil plus tôt dans la soirée et de dormir davantage dans les 2 jours qui suivent une séance, en particulier après la première séance.
Parfois, il y a des changements dans le transit ou dans l’énergie globale pendant quelques jours.
Une sensation d’inconfort général est parfois présente dans les 3 jours suivant une consultation chiropratique.
Cette sensation est liée au temps que l’intégration des informations communiquées à votre corps pendant la séance s’intègrent.
Un sentiment de bien-être, de relâchement et de légèreté accompagne souvent ces ressentis.
La recherche actuelle statue sur le fait que les manoeuvres effectuées par les chiropracteurs ne sont pas dangereuses.
En outre, il n’existerait pas de corrélation entre les manoeuvres cervicales et le risque de dissection de l’artère vertébrale qui peut mener à l’AVC.
Les études démontrent une corrélation quasi-nulle entre l’intervention chiropratique et cet événement vasculaire. La corrélation n’est pas supérieure à une visite chez le médecin.
La chiropraxie a été découverte par sérendipité le 18 septembre 1895 à Davenport aux Etats-Unis.
Elle nous parvient grâce à la sagacité de Daniel David Palmer, qui a constaté que l’ouïe de son bon ami Harvey Lillard, sourd depuis 17 ans, s’était améliorée après avoir effectué une action correctrice sur une de ses vertèbres.
Ce premier « ajustement chiropratique » le mena à s’interroger sur les relations pouvant exister entre la colonne vertébrale, le système nerveux et la santé en général.
Cela modifia le paradigme alors établi en reconnaissant l’importance de l’équilibre de la structure du corps pour la santé et ses inter-relations avec les autres composantes de la santé.
La chiropraxie a ensuite été développée par son fils, Barlett Joshua Palmer, avant de se répandre et de devenir populaire dans le reste du monde.
Au-delà de ses effets sur la réduction de la douleur, la recherche démontre que la chiropraxie a des effets sur le fonctionnement du cerveau, l’intégration sensorimotrice et, de façon plus générale, sur la réduction de l’inflammation, la résilience et l’homéostasie (capacité de retour à l’équilibre de l’organisme).
Cela peut expliquer en partie les effets positifs de la chiropraxie rapportés par les patients sur de nombreux domaines de la vie, bien au-delà de la simple réduction de la douleur, comme le sommeil, la gestion du stress, la mémoire, la fatigue, la cognition, les performances sportives, la digestion etc.
La chiropraxie favorise notamment la plasticité cérébrale, stimule le cerveau dans les zones corticales et sous-corticales, améliore le contrôle moteur par une meilleure fonction neuro-musculaire, améliore la force et diminue la fatigue musculaire, a un effet sur l’intégration de la sensibilité (intéroceptive, extéroceptive et proprioceptive), la concentration, l’équilibre…
Bien d’autres effets sont rapportés et des recherches sont encore en cours pour comprendre mieux d’où provient l’efficacité de la chiropraxie et quels mécanismes sont mis en oeuvre.
Un effet concret de la chiropraxie a donc été démontré sur la fonction du corps et en particulier sur celle du cerveau.
Il est à noter que cet effet est d’autant plus puissant que la manoeuvre effectuée est spécifique, d’où la nécessité d’une analyse sérieuse et approfondie ainsi que d’une technique spécifique forgée par la répétition consciente, pour permettre le traitement le plus efficace qui soit.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38216596/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35185747/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34439666/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34064209/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32349288/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31061511/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30804399/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29327170/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28196631/
En tant que chiropracteurs, nous restons à jour sur les avancées scientifiques et les meilleures pratiques de différentes manières.
Nous participons régulièrement à des formations continues, des conférences et des séminaires pour approfondir nos connaissances et rester informés des dernières recherches dans notre domaine.
De plus, nous sommes membres d’associations professionnelles qui fournissent des ressources et des publications sur les dernières avancées en chiropraxie et en santé.
Cette mise à jour constante se reflète dans notre pratique clinique de plusieurs façons.
Tout d’abord, nous intégrons les dernières recherches et recommandations cliniques dans notre évaluation et nos traitements, ce qui nous permet d’offrir des soins basés sur des preuves à nos patients.
Ensuite, nous adaptons notre approche en fonction des besoins spécifiques de chaque patient, en utilisant des techniques et des méthodes qui ont fait leurs preuves dans la littérature scientifique.
Enfin, nous sommes en mesure d’éduquer nos patients sur les meilleures pratiques en matière de santé et de leur fournir des conseils personnalisés et appuyés par la science pour optimiser leur bien-être global.
En somme, en restant à jour sur les avancées scientifiques et les meilleures pratiques, nous sommes en mesure d’offrir à nos patients des soins de haute qualité, efficaces et sûrs, qui sont à la fois conformes aux normes professionnelles et aux besoins individuels de chaque patient.
L’approche chiropratique est autant préventive que curative.
Souvent, on ne vient consulter que quand on a mal.
Or, le symptôme (la douleur en général) est la plupart du temps le dernier signe à apparaître dans le développement d’une problématique de santé.
Les phénomènes compensatoires opérés par l’organisme peuvent être endigués, car repérés précocement, grâce à l’analyse chiropratique.
Cette recherche permet de remonter à la cause d’une problématique en train de se développer, ou de prévenir son apparition en optimisant la fonction du corps.
Cela a donc du sens de consulter en prévention, même si l’on ne présente aucun symptôme.
Je vous renvoie vers la page « La chiropraxie » où je traite de ce sujet également.
Certaines techniques chiropratiques courantes, notamment les manoeuvres Hautes Vélocité Faible Amplitude, entraînent souvent une cavitation audible, communément appelée « craquement ».
Ce son est attribué au phénomène de tribonucléation au sein des articulations synoviales.
Voici le mécanisme détaillé :
Anatomie de l’articulation et fluide synovial : Les articulations synoviales sont des structures encapsulées contenant du fluide synovial, qui lubrifie les surfaces cartilagineuses articulaires. Le fluide synovial contient des gaz dissous, y compris l’oxygène, l’azote et le dioxyde de carbone.
Force de manipulation et séparation des articulations : Lors d’une poussée HVLA, une force rapide et contrôlée est appliquée à un segment vertébral spécifique. Cette force surmonte brièvement la résistance élastique de la capsule articulaire et des ligaments, entraînant une séparation rapide des surfaces articulaires.
Cavitation et formation de bulles de gaz : La séparation rapide des surfaces articulaires réduit la pression intra-articulaire, permettant aux gaz dissous dans le fluide synovial de se libérer et de former des bulles de gaz. Ce processus est appelé cavitation. La formation de ces bulles crée le son caractéristique de « craquement ».
Effets subséquents et période réfractaire : Après la cavitation, les surfaces articulaires se réalignent et les bulles de gaz sont réabsorbées dans le fluide synovial. Il existe une période réfractaire pendant laquelle la cavitation ne peut être répétée jusqu’à ce que les gaz soient à nouveau dissous et que l’articulation soit prête à caviter de nouveau.
Effets thérapeutiques : L’événement de cavitation contribue à divers effets thérapeutiques, notamment une augmentation de la mobilité articulaire, une relaxation musculaire et une diminution de la perception de la douleur. Les mécanismes précis ne sont pas entièrement compris, mais on pense qu’ils impliquent des réponses neurophysiologiques à l’étirement rapide et à la relaxation subséquente des tissus périarticulaires.
Si vous avez des réticences aux « craquements », parlez-en à votre praticien.
Il est possible d’ajuster la technique pour qu’elle soit adaptée pour vous et votre sensibilité, tout en conservant son efficacité.
L’audible n’est pas nécessaire à la réussite d’une manoeuvre chiropratique.
Oui.
Selon ce site, près de 92,7% des patients de disent satisfaits des soins chiropratiques.
96,7% disent qu’ils recommanderaient la chiropraxie à leurs proches.
La chiropraxie obtient un NPS, un score reflétant la satisfaction et la loyauté des patients, de 89,8%, et des scores de satisfaction en ligne supérieurs aux autres spécialistes.
Le diplôme de chiropracteur s’obtient après avoir démontré des connaissances pointues dans de nombreux domaines dont l’anatomie, la sémiologie, la physiologie, mais également des compétences techniques dans les domaines de l’examen clinique et des manoeuvres chiropratiques, dans l’analyse d’imageries médicales et dans la recherche.
En outre, l’accent est mis sur les compétences cliniques par l’étude de nombreux cas cliniques, en faisant des stages hospitaliers et par 400 consultations à effectuer à la clinique chiropratique de l’école.
Il n’y a qu’une seule école de chiropraxie en France.
Elle comporte 2 sites, Paris et Toulouse.
En 2022, on dénombrait 52 écoles dans le monde.
Les études se font en 6 ans à temps plein (5500 heures), ou en 5 années (5000 heures) selon les sites.
L’IFEC (Institut Franco-Européen de Chiropraxie), d’où est issu votre chiropracteur, est agréé par le ministère de la santé depuis 2013 et accrédité par l’ECCE (uropean Council on Chiropractic Education), assurant de la qualité de l’enseignement.
L’association pour la formation et l’enseignement en France de la chiropraxie a obtenu le 28 janvier 2022 la certification Qualiopi (Certificat N° CPS RNCP 1955).
Oui.
La loi du 4 mars 2002 et le décret du 7 janvier 2011 reconnaissent la chiropraxie comme une profession de la santé à part entière et définissent ses conditions d’exercice.
Le chiropracteur dispose d’un numéro ADELI.
Il existe des centaines de techniques chiropratiques différentes.
Les techniques les plus répandues reposent sur des principes neurologiques communs, qui permettent une base d’analyse largement partagée par la majorité des chiropracteurs.
Des techniques dites « mécaniques », qui entraînent souvent une « cavitation » (quand ça « craque ») aux techniques dites « réflexes » en passant par les méthodes plus douces avec un toucher très léger, l’éventail thérapeutique chiropratique est vaste.
L’attention du chiropracteur est principalement portée sur la colonne vertébrale et la fonction du cerveau, mais elle l’est également sur tout le reste du corps.
Afin de créer une véritable transformation chez vous par la création de nouvelles connexions dans le cerveau, le plus efficace en général est d’effectuer la 2e séance une semaine après la première.
Cela dépend cependant des facteurs individuels. Il est parfois mieux d’espacer plus et parfois, bien que rarement, nécessaire de rapprocher les séances.
Les effets sont rapides et il est très courant de ressentir un soulagement à la fin de la 1e séance et une amélioration concomitante de certains paramètres (sommeil, performances sportives, gestion du stress etc.) dans les jours qui suivent.
Dans le cas de certaines problématiques, le soulagement peut mettre plus de temps à arriver. Cela traduit le temps que vont mettre les connexions cérébrales à s’établir. Dans ce cas, des conseils de mode de vie sont prodigués afin d’accélérer le plus possible les progrès.
Absolument pas.
Au contraire, le mouvement favorise l’intégration des ajustements chiropratiques.
Veillez toutefois à ne pas vous entraîner de façon trop intensive pendant les 3 jours suivant la séance.
La disparition de la douleur, le regain d’énergie, d’amplitudes de mouvement ou de force musculaire peuvent vous encourager à mettre plus d’intensité dans vos entraînements, il est important de veiller à ménager ses efforts, dans les 3 jours suivant la séance, au risque de se blesser à nouveau.
En résumé, s’entraîner après une séance chiro, c’est excellent. Mais s’entraîner trop fort, c’est déconseillé.
La notion de pluridisciplinarité est chère à votre chiropracteur.
Parfois, l’approche chiropratique n’est pas la plus appropriée pour vous et parfois, elle est appropriée mais plus efficace en conjonction avec une autre approche.
Il n’est pas rare en chiropraxie, pour favoriser l’évolution de la problématique du patient, que le chiropracteur travaille avec des kinés, des dentistes, des médecins ou même des psychologues.
Elle est variable et dépend de vos besoins !
Généralement, la première consultation dure 45mn et le suivi 30 à 45mn, en fonction de la situation.
S’il s’agit d’une consultation pour un symptôme nécessitant une analyse très approfondie, la durée de la séance peut être allongée et tous les paramètres cliniques pouvant influer sur ce symptôme, en accord avec les dernières recherches scientifiques, sont évalués.
Les soins chiropratiques sont pris en charge par plus de 300 mutuelles.
Le remboursement dépend de votre organisme et de votre forfait.
Renseignez-vous directement auprès de vote mutuelle.
Le mot « chiropraxie » est composé de 2 termes provenant du grec ancien :
- cheir (χείρ : se prononce « Kir ») = la main
- praxis (πρᾶξις) = l’action, la pratique
On prononce donc « kiropraxie », comme s’il y avait un K à la place du Ch.